vendredi, juin 29, 2007

Comment faire plaisir...

Comment faire plaisir dans la simplicité d'une douceur suave et croquante ? Je vous livre le secret.

  • 5 à 7 tiges de rhubarbe, pelées et coupées en tronçons
  • 1 pomme, pelée et coupée en morceaux
  • 50g de sucre
  • noix de coco
  • 1 pâte à crumble avec de la cassonade, placée au froid
  • cassonade

Faire macérer la rhubarbe dans le sucre pendant une heure
Répartir dans le fond d'un plat à gratin
Ajouter la pomme
Saupoudrer de cassonade et de noix de coco râpée
Parsemer de pâte à crumble
Enfourner 20-30 minutes à 180-200°C.

Les amateurs choisiront, plutôt que de saupoudrer les fruits de cassonade, d'ajouter quelques tranches de gingembre confit coupées en petits dés.

"Ain't Got No Money to Pay For This Drink - I need it bad, My wine-headed baby took everything I had.' You know, all this talk is making me thirsty. 'Scuse me a minute."

Bob Dylan

lundi, juin 18, 2007

Haricots Verts sans prise de tête

et sans prise de poids !


  • 200-250g de haricots verts, cuits à l'eau bouillante
  • 150-200g de gésiers confits, revenus à la poêle
  • 1 poignée de noix, broyées
  • 2 tomates grappes, coupées en morceaux
et la vinaigrette, light light puisqu'elle ne contient même pas d'huile.

  • 1cc de moutarde à l'ancienne
  • 1 petite orange, pressée
  • 1 cs de sauce soja

On mélange, on parsème, on touille. Easy.
Une bonne façon de manger des haricots verts pour les non-amateurs...

The result is a sort of cultural insecurity among the majority, non-immigrant British. If you are an immigrant and also a UK citizen, the chances are you have dual identity. Let's say for the sake of argument you are Muslim and British. The split in your identity probably coincides with a split between public and private personae. At work, in the shops, in the street you are British. At home, around the dining table, you are Muslim. When the world outside your front door is a bewildering, insecure, chaotic global marketplace, your private cultural identity isn't a luxury, it is an existential necessity. It keeps you sane. If, however, you are part of the overwhelming majority of white, non-devout Christians, no such cultural safety net exists. Your culture is the mass culture, which is global consumer culture, which is no culture at all.

The Guardian

lundi, juin 04, 2007

Fraises Meringuées





Oh, la belle meringue !
Qui devinerait qu'il y a des fraises là-dessous ?

  • 500g de fraises, lavées et coupées en deux
  • 4 blancs d'oeufs
  • 1cs de cassonade
  • 100g de sucre
  • herbe fraîche (basilic, menthe...)
  • 1cs d'alcool (porto, marasquin...)
Disposer les fraises dans un petit plat à gratin ou dans 4 ramequins
Ajouter
l'herbe (basilic) et verser l'alcool (porto)
Parsemer
de cassonade
Battre
les blancs en neige très ferme avec le sucre => meringue italienne
Former
une couche de meringue par-dessus les fraises
Enfourner
10 minutes à four doux (130-150°C).

Du basilic et des fraises ??!! Mais z'êtes pas givré ? ...
Faut dire qu'avec un plant de basilic tel, ce serait bête de se priver.




- Well, Pam... Which way you going, left or right?
- Right!
- Oh, that's too bad...
- Why?
- Because it was a fifty fifty shot on whether you'd be going left or right. You see we're both going left. You could have just as easily been going left, too. And if that was the case... It would have been a while before you started getting scared. But since you're going the other way, I'm afraid you're gonna have to start getting scared... immediately!

Death Proof, Quentin Tarantino

vendredi, juin 01, 2007

Ganache Chocolat en Tartelettes, à la Noix de Coco




Deuxième essai culinaire à partir du livre "Les tartes d'Eric Kayser", concluant !
La recette est simple et sobre, le résultat fondant et intense. Le fond de tarte est en pâte sablée chocolat (les explications d'Eric Kayser sont d'un abord très aisé), la garniture est une ganache au chocolat noir (pas de sucre ou très peu, de la crème et beaucoup de chocolat) et à la noix de coco (râpée), la déco... noix de coco !


Nos arrogantes sociétés se conçoivent extrêmement riches, méprisant la frugalité de sociétés dites primitives, mais ignorent la destruction de la faune et de la flore, la perte irrémédiable de la biodiversité et de la diversité tout simplement, la disparition des langues, crime contre l'humanité. Elles ne comptent ni le malheur, ni le stress, ni la tristesse, globalement engloutis dans l'allongement de l'espérance de vie d'une existence desespérante. Des milliers d'activités relevant du don de soi ou de l'altruisme ne sont jamais comptabilisées (comment comptabiliser le dévouement des bénévoles dans un incendie, le travail d'une femme au foyer ? D'une mère qui apprend à lire à son enfant ?), comme s'il fallait pénaliser systématiquement tout ce qui est non marchand.

L'anti-manuel d'économie, Bernard Maris