Ce risotto-ci est tout simple et tout bon (meme si la photo est toute moche). De l'ail d'abord, parce que l'ail c'est la classe, un parfum de tomate ensoleillée à travers la combinaison concentré-basilic séché (on a tendance à préférer les herbes frâiches aux herbes séchées en toute occasion mais je trouve que le basilic séché s'adapte bien ici au mode de cuisson) et du fromage car c'est l'incontournable du risotto qui donne du liant et du crémeux au plat. Enfin on ajoute encore des pignons de pin, qui sont grillés à sec (attention à ne pas les cramer, ça prend vite) afin de dégager tout leur arôme puis écrasés à moitié pour mieux les incorporer dans la masse. Je ne précise pas le volume de bouillon nécéssaire, c'est au feeling. Il faut trouver le déliceux équilibre entre les grains de riz pas cuits et le mélange lumpy (je préfère que mon risotto ne ressemble pas à du porridge perso) et pour cela il n'existe pas dix mille méthodes, faut surveiller et goûter régulièrement quand approche la fin des 15 minutes.
- 1 verre de riz rond (Arborio)
- 2 généreuses gousses d'ail, hachées menu
- 1cs bombée de double concentré de tomate
- 1 poignée de pignons
- 1 pincée de basilic séché, haché
- 1cs huile d'olive
- bouillon de volaille chaud
- copeaux de parmesan (cheddar ou gruyère ou comté à défaut)
Faire revenir l'ail 1-2min sans le faire colorer
Verser les grains de riz et les enrober d'huile
Ajouter le concentré de tomate délayé dans un peu de bouillon
Mouiller d'une première louche de bouillon
Cuire 15min sur petite ébullition, en remuant régulièrement et en rajoutant du bouillon au fur et à mesure
Parsemer de basilic et poursuivre encore 5min à feu tout doux
Faire griller les pignons à sec dans une poêle
Les écraser à moitié au pilon, ou au rouleau à pâtisserie
Incorporer le fromage et les pignons hors du feu.
I saw then that my father's only fear was that his son would follow the same road. And that was the last time I ever held a gun. People always thought I grew up on a farm. And I guess, in a way, I did. But I lived a lifetime before that, in those six weeks on the road in the winter of 1931. When people ask me if Michael Sullivan was a good man, or if there was just no good in him at all, I always give the same answer. I just tell them... he was my father.
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